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Textes Blog & Rock and Roll
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23 janvier 2012

Great Full Dead (1ère partie)

faucheuse

     Et à la fin, c’est bien connu, le héros, il meurt. Et bien le rock, issue de la musique du diable, n’occulte pas le thème de la mort comme nous allons le voir dans cette nouvelle play-list. Rien à voir avec mon billet précédent, c’est juste une coïncidence chrnologique, pas de dépression ni de suicide en vue. En avant donc pour cette play -list de la mort qui tue.

 

    Si j’en crois la fiche Wikipédia de Body Count, c’est un groupe qui fait dans le trash métal, le hardcore, le heavy métal,  le rapcore, le rap métal, le thugcore et le Gangsta-métal. Tout ça avec un chanteur qui a un nom de thé glacé. Vous m’en direz tant. En tout cas, Born Dead est la chanson idéale pour débuter cette play-list.

 

 

      Remarquez avec Police on est aussi dans un groupe mutli-genre. Toujours d’après Wikipédia, l’album Reggata de Blanc se range dans la catégorie rock new wave post-punk reggae fusion. Pour clore la face A de l’album on trouvait ce Deathwish très sautillant. Qu’est ce qu’une face A ? File dans ta chambre ami jeune.

 

 

      De la même manière qu’un Miles Davis improvisant la BO d’Ascenseur sur l’Echaffaud en regardant les images du film en studio, Neil Young composa ainsi la BO de Dead Man (de Jim Jarmusch). Elle n’est constituée que d’instrumentaux auxquels on a rajouté des poèmes lus par Johnny Depp, l’acteur principal du film.

 

 

      Les Dead Kennedys (mais en existe-t-il encore des vivants ?) sont un groupe punk américain qui a sévi tout au long des années 80 et qui a tenté de se reformer avec moins de succès dans les années 2000. Les Dead Kennedys ont eu quelques soucis avec la censure américaine avec ce Too Drunk To Fuck, repris plus tard par Nouvelle Vague, qui pourtant est un super slogan pouvant inciter les jeunes (et les moins jeunes) à limiter leur consommation d’alcool.

 

 

      Les Dead Weather  font partie de la grande famille des supergroupes. Au chant il y a Allison Mosshart (des Kills), Dean Fertita (des Queen of The Stone Age) à la basse, Jack Lawrence (des Raconteurs, qui était déjà un supergroupe) à la guitare. On les voit ici interpréter Blood Blood Blues sur une scène minuscule. Ah oui le batteur qui chante ce n’est pas Phil Collins, mais Jack White, qu’on ne présente plus.

 

 

     Pour finir cette première partie, un classique des classiques, en l’occurrence In My Time Of Dying de Led Zeppelin. Au départ c’est un blues enregistré par Blind Willie Johnson mais Jimmy Page n’est pas homme à s’embarrasser de principe, et cette chanson est créditée Page/Plant/Bonham sur l’album Physical Graffiti, ça fait toujours ça de plus en droit d’auteurs. A noter qu’In My Time of Dying est la chanson la plus longue du répertoire de Led Zeppelin.

 

 

 

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