
Avant de chroniquer La Muraille de Lave, je dois vous avouer que ma sénilité se développe à grand pas. Ce qui enlèvera sans doute beaucoup de crédit à ce qui va suivre. Alors voilà, ce n’est qu’après avoir terminé de lire ce roman d’Arnaldur Indridason, que je me suis rendu compte que je l’avais emprunté à la bibliothèque alors que je l’avais acheté quelques semaines plus tôt. Non je ne l’avais pas déjà lu, faut pas déconner non plus. Sénile certes mais pas (encore tout à fait) Alzheimer.
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